Comme mon voyage en Norvège a complètement été chamboulé avec mon accident, je n’ai d’autre choix que d’y aller de p’tites vites sur mon blogue vu que je n’étais pas dans la meilleure des formes pour faire des visites guidées avec une tonne d’informations!
J’ai parcouru quelques milliers de kilomètres à travers le pays et comme je suis légèrement obsédée par les murales, j’ai remarqué une redondance avec ce personnage :
J’ai trouvé le nom de l’artiste, Ståle Gerhardsen, mais pas l’origine ou la signification de ces bonhommes. D’ailleurs, je n’en ai vu que quelques-unes des œuvres avec ces personnages. Je suis assez contente d’avoir pu voir la prochaine, puisque je cherchais un endroit où acheter je ne sais plus quoi et que j’ai dû faire un détour dans le stationnement. C’est là que je suis tombée sur ça, qui n’était pas visible de la route. Une belle surprise!
Étant grande fan de Roger Federer – et toujours dans le déni de sa retraite – j’ai tout de suite remarqué ce logo, pensant évidemment que c’était une boutique qui vendait ses produits. Bien sûr, je trouvais ça bizarre, mais j’ai vite compris qu’une compagnie s’était juste servie du logo RF. Ce n’est même plus une ressemblance, c’est carrément du plagiat!
Là-bas, le 9-1-1 n’existe pas :
Tous les grands magasins, comme les épiceries ou les quincailleries, ont leurs heures d’ouverture à côté de leur nom, en gros sur la devanture des magasins. Entre parenthèses, ce sont les heures du weekend. Très pratique pour ne pas se cogner le nez à une porte fermée ou pour planifier ses heures pour faire les courses!
J’ai mentionné dans un de mes autres billets que la consigne était très efficace en Norvège. Je n’avais pas vraiment pris la peine de calculer combien elle était par contenant, mais je vous confirme qu’elle est beaucoup plus élevée que notre petit cinq sous au Québec (oui, je sais, il y en a à 20 cents, mais ce n’est pas la majorité). Donc pour une bouteille d’eau, c’était 2 ou 3 KR, soit (avec le taux actuel) de 0,27$ et 0,40$. Pour des bouteilles d’eau! Quant à mes canettes de Red Bull que je bois pour survivre, la consigne est de 2 KR chacune. La valeur du dollar canadien était un peu plus élevée quand j’y suis allée, mais quand j’ai consigné ce que j’avais avant de partir, j’en avais pour plus de 10$!
J’ai aussi remarqué quelque chose de très ingénieux pour éviter de les jeter aux ordures : des poubelles dans des lieux publics avec un genre de cylindre sur le côté dans lequel on peut placer les canettes. Pas étonnant qu’avec tout ça, le taux de retour des contenants consignés frôle les 100%!
Un autre truc qui me semble plus écologique, ce sont les cartes de chambre d’hôtel en bois. Oui, oui!
Par contre, il manquait d’endroits pour recycler dans les lieux publics. Surtout que presque tous ceux que j’ai vus, comme celui-ci, étaient… verrouillés. Pas très pratique!
Il y a une chaîne de librairies qui aurait peu de succès au Québec si elle conservait son nom…
Je dois avouer que je n’ai pas tout compris les panneaux routiers. Par exemple, je sais qu’en Allemagne, quand un panneau de vitesse est hachuré, c’est qu’il n’y a plus de limite.
Considérant que les routes ont parfois l’air de ça :
Je me doute bien que ce n’était pas le cas. Mais je n’ai pas trouvé la réponse – et je n’ai pas vraiment eu le temps de la chercher là-bas, je l’avoue!
Je n’ai pas non plus compris celle-ci parce que selon la logique, les voitures seraient interdites. Sauf que… Ces affiches sont sur les routes principales!
Ils ont aussi des affiches pour la prévention qui sont particulièrement brillantes. Même si je ne comprenais rien de ce qui était écrit, je pouvais déduire qu’il s’agissait de prévention pour la ceinture de sécurité, la vitesse et une autre (que je n’ai pas photographiée) pour les cyclistes.
J’ai croisé beaucoup de chantiers routiers – on n’est pas seuls au Québec! –, dont plusieurs futurs tunnels :
Heureusement, il y en a qui étaient mieux indiqués et qui pouvaient être décodés même s’ils n’étaient qu’en norvégien. Bon, il y a aussi le fait qu’une lumière rouge, c’est pas mal international, mais quand même, j’ai compris qu’il fallait « arrêter ici ».
J’ai bien mangé et les déjeuners inclus dans les hôtels étaient tous excellents. Par contre, j’ai passé mon tour sur ce caviar en tube…