mercredi 24 octobre 2018

P’tites vites de Seattle (et une méga frousse)


Voici en rafale quelques faits saillants (ou pas) de mon passage à Seattle lors de mon actuel road trip américain.

Une des attractions principales est le Pike Public Market. Il ne faut pas être agoraphobe pour aller là parce qu’il y a du monde en maudit!
On vend toutes sortes de choses, mais principalement du poisson frais. Pour une fille qui ne mange pas de poisson ni de fruits de mer, ce n’était pas très intéressant, mais sachez qu’ils livrent gratuitement dans les hôtels du centre-ville!
 
 
Tout près de là, il y a le fameux Gum Wall. La tradition perdure depuis 1993 et les gens y collent leur gomme. Oui, c’est un peu dégueulasse, mais c’est quand même très beau et c’est le royaume du selfie! En 2015, ils ont décidé de tout enlever pour s’assurer que ça ne cause pas d’érosion à la brique. Ils en ont eu pour 130 heures et ont enlevé 2350 lb de gommes! Trois ans plus tard, le mur est redevenu ce qu’il était! Mais bon, mon chien n’a pas semblé être trop impressionné…
 
Vous commencez probablement à le savoir; dès qu’il y a une tour ou un endroit avec une belle vue sur une ville, je dois monter. À Seattle, il y en a deux, alors je les ai visitées dans la même soirée! Pour le Space Needle, la tour emblématique de la ville, il faut acheter un billet qui nous donne le droit d’y aller entre telle et telle heure. Le mien me donnait le temps d’aller visiter les Jardins de Chihuly, tout juste à côté. Ce sont des œuvres en verre soufflé… époustouflantes!
 
Je ne sais pas où j’avais la tête par contre cette journée-là, mais j’ai encore une fois frôlé la catastrophe. J’ai d’abord perdu mon billet pour le Space Needle quelque part dans la boutique de souvenirs. Comme je n’avais pas de reçu et que ça vaut pas pire cher, je paniquais. Puis, je l’ai retrouvé par terre.

Quelques instants plus tard, au jardin de verre, j’ai réalisé quand j’ai voulu prendre une photo que… ma caméra – OÙ EST MA CAMÉRA!? (Petit rappel de la même scène avec mon laptop cette fois à Londres…) Ma caméra est non seulement importante en raison des photos – au moins je transfère mes photos chaque jour au cas où une chose comme ça arrive –, mais c’est aussi un gros investissement que j’ai fait, alors j’y tiens. Je me suis mise à courir pour retourner là où j’avais pris la dernière photo et comme elle n’était pas là, j’ai crié en anglais : « Est-ce que quelqu’un ici a trouvé une caméra!? » et heureusement, un petit couple m’a dit qu’il l’avait remise à la sécurité. J’ai couru vers l’agente, qui, lassée, m’a dit que c’était aux objets perdus à l’entrée. J’ai couru encore une fois vers l’entrée où on m’a redirigée vers un petit couloir où – OUF – ma caméra était. J’ai donc recommencé à respirer. J’ai voulu replacer tous mes trucs – sacoche du chien (oui, je le transporte parfois dans une sacoche), ma vraie sacoche, ma caméra, mon manteau… Shit. OÙ EST MON MANTEAU? Comme j’étais déjà aux objets perdus, je leur ai demandé s’ils l’avaient. Réponse négative. Je leur ai laissé ma description et j’ai à nouveau couru dans le sens inverse. Mon manteau était par terre, là où j’avais crié pour ma caméra. Jamais deux sans trois, hein? Non mais, sérieusement!

Bref, j’ai ensuite fait la file pendant une heure pour monter au sommet de la Space Needle où la vue n’est pas si chouette. Mais au moins, c’est cool parce qu’il y a un plancher de verre qui bouge et fait faire un 360 degrés si nous, on ne bouge pas 😊
La vue est plus belle du Sky View Observatory, tout simplement parce qu’on voit la Space Needle.
Le Kerry Park offre aussi une superbe vue sur la ville.
J’ai également trouvé la même statue qu’à Montréal (et à La Nouvelle-Orléans), mais cette fois avec son jumeau.
Je ne sais pas si on a ça aussi à Montréal, car il est rare que j’utilise les stationnements du genre (lire chers), mais c’est super brillant pour ne pas oublier où on met sa voiture! J’en aurais eu besoin à Toronto… 
Les lampadaires dans le quartier chinois sont vraiment beaux!
J’aurais peur de vivre ou de travailler dans cet immeuble! En fait, tout le monde a eu un peu peur quand ils ont commencé la construction et un méga trou juste à côté…
 
Les « Bixi » de Seattle sont un peu n’importe où dans la ville. On dirait qu’on peut juste les prendre, comme ça, et les laisser où on veut. Mais ça prend une app qui déverrouille l’une des roues! Brillant!
En terminant, je suis allée voir les Seahawks. J’avais vraiment hâte parce que les partisans ont la réputation d’être les plus bruyants de la NFL. Comme j’ai maintenant assisté à des matchs locaux de la moitié des équipes de la ligue, je peux vous assurer qu’à date, ils sont en effet les plus bruyants!
Cette réputation n’est pas que légende urbaine. Comme ils sont considérés comme le « 12e joueur », le numéro 12 est partout dans la ville. Il a même été retiré par l’équipe, son drapeau flotte et est hissé à chaque début de match et des partisans portent même ce chandail!
 


jeudi 18 octobre 2018

Victoria : dispendieuse à visiter, mais.... charmante


Il y avait longtemps que je voulais aller visiter Victoria, parce qu’à part St. John’s, Terre-Neuve, je considérais que c’était la seule « grande ville » canadienne dans laquelle je n’avais encore jamais mis les pieds.

J’ai donc fait le détour dans la capitale britanno-colombienne avant de retourner aux États-Unis pour poursuivre mon périple.

Évidemment, comme Victoria est sur l’île de Vancouver et qu’elle est trop loin du reste de la province pour qu’il y ait un pont, il faut prendre le traversier. Et il n’est pas donné. Oh que non! Si ma mémoire est bonne, c’est un peu moins de 100$ en devises canadiennes que j’ai dû débourser pour y aller. J’avais réservé la veille puisque c’était le week-end de l’Action de grâce canadienne.

Je n’ai passé qu’une journée complète là-bas parce que le lendemain, il pleuvait, alors j’ai tout concentré ce que je voulais faire en quelques heures. Je suis rendue une experte dans ce domaine.

J’ai commencé par Butchart Garden, qu’on m’avait suggéré. C’était beau, mais cher (près de 30$). 
Ensuite, je suis allée me promener au centre-ville, près du port, où les paysages sont très beaux. J’ai fait la tournée en bus hop on hop off – que j’adore – pour avoir droit à une visite guidée et à un chauffeur (très apprécié quand on est rendue à plus de 10 000 km en road trip!).
Voici donc quelques faits intéressants que j’ai retenus de cette charmante ville canadienne.

On ne peut toucher à l’extérieur des bâtiments historiques lorsqu’on les rénove. L’intérieur, on peut en faire ce qu’on veut, mais on ne touche pas à l’aspect extérieur. Comment ils font? Comme ça :
 
On m’avait aussi suggéré le Château Craigdarroch et la fille qui m’en avait parlé avait l’air de le comparer à Versailles. Légère déception… Je me suis finalement contentée que de l’extérieur.
On y trouve le plus haut totem au monde (173 pieds) – et sûrement le plus mince aussi… (mais pas le plus beau).
 Preuve que c’est vraiment à l’autre bout du pays :
Le parlement est très beau, mais comme j’avais Charlot (mon chien), je n’ai pas vérifié si je pouvais y entrer ou non. J’ai vu ceux d’Ottawa et de Québec, je me suis dit que ça devait se ressembler un peu…
Parlant de ressemblance, on a l’hôtel Empress, qui est dans la même lignée que le Château Frontenac. L'activité populaire à faire est d'aller y prendre le thé, tradition britannique bien conservée à Victoria.
Il y a la plus petite rue commerçante au monde.
Mon coup de cœur a été le village Fisherman’s Wharf. J’en avais vu un sembable à San Francisco il y a plusieurs années et j’ai été tout autant impressionnée. Les couleurs sont magnifiques! On m’a dit que les meilleurs fish and chips s’y trouvaient aussi, mais je n’ai pas essayé pour la simple et bonne raison que je déteste le poisson!
S'il coûte cher d'aller à Victoria, c'est également le cas pour en sortir. Je n'avais pas réservé ma place sur le traversier, parce que je ne savais pas trop quand je repartirais, alors j'ai dû être en « stand by » pendant quelques heures afin de savoir si j'avais une place dans le bateau. Je l'espérais vraiment, car non seulement j'avais encore beaucoup de route à faire en arrivant en sol américain, mais le traversier suivant était quatre heures plus tard et j'en avais déjà marre d'attendre dans la voiture sous la pluie! J'ai été chanceuse et j'ai été l'une des dernières à embarquer. Tout ça pour la modique somme d'environ 100 CAD. 

À noter que ma mémoire a volontairement effacé les véritables prix payés à peu près partout pour m'aider à vivre dans le déni.

lundi 15 octobre 2018

Il était une fois, l'hiver en Alberta (en septembre)


Après avoir CAPOTÉ sur le parc national Yellowstone, j’étais super contente d’aller voir le Glacier National Park. Avec un nom de même, on ne peut s’attendre qu’à de l’extraordinaire. C’était sur mon chemin en allant en Alberta pour mon petit saut au lac Louise où j’avais aussi si hâte d’aller.
Sauf que la fin septembre dans le coin du Glacier, c’est synonyme… d’HIVER. C’était l’hiver, comme le chantait Francis Cabrel. Alors la vue que j’avais, c’était plutôt ça :
 
J’ai laissé faire les randonnées pédestres, ça n’a pas été long. Je n’avais pas mon ensemble de neige… Ni mes pneus d’hiver. C’est surtout cette partie que je trouvais moins drôle. Le fait que j’ai fait installer des pneus d’été flambants neufs avant de partir vu que j’allais dans le sud des États-Unis pour la majeure partie de mon voyage. Ceux qui suivent assidûment mon blogue savent ce qui est arrivé par la suite à un de ces maudits pneus

Revenons au nord du Montana. J’ai essayé de voir les attractions du parc, mais en vain. Mon but dans ma journée était de voir une chèvre des montagnes. Avec mon objectif de 300 mm, j’ai réussi à capter ça :
Pas trop certaine de ce que c’est, mais pour le bien de ma santé mentale, on va dire que c’est un troupeau de chèvres de montagne.

J’ai donc coupé court à cette visite et je suis partie pour l’Alberta. Le lendemain, je visitais Banff, qui n’est pas si exceptionnel au centre-ville. Mais les rocheuses sont belles, quoique très cachées par le brouillard.
J’ai fait un petit détour pour aller voir cette sculpture à Canmore et désolée, je n’ai pas cherché la signification ou l’explication pour celle-ci!
Je croisais les doigts pour que le brouillard se dissipe. J’avais peur que ce soit la même chose au lac Louise. Sérieux, je rêvais de ma photo de cet endroit depuis des années. Imaginez donc ma déception quand je suis arrivée et que ça avait l’air de ça…
Je ne pouvais pas vraiment aller au Lac Moraine, qui était sur ma liste, parce que quand le stationnement est plein, ils bloquent la route et on ne peut prendre que les navettes et que j’avais raté la dernière. Alors j’ai décidé d’aller voir pour la gondole, qui était très chère selon mes recherches. Finalement, je suis tombée en premier sur le simple remonte-pente d’une des montagnes de ski et c’est ce que j’ai pris. Mais la vue – je m’y attendais – ne valait pas vraiment le prix. À gauche, voyez une photo montrant de quoi ç’a l’air avec un beau ciel bleu et derrière, ma réalité… 
Quand je suis redescendue, il était tard en fin de journée, alors je me suis dirigée vers le Lac Moraine, pensant que le stationnement serait ouvert à cette heure. C’était le cas! Et c’était magnifique!

Par la suite, ça s’est un peu gâté. Je suis rapidement passée à cette (pas de) visibilité...
J’ai abandonné l’idée d’aller me promener parce qu’on ne voyait rien. Il n’y avait aucun hôtel avec un prix raisonnable dans les alentours et le camping n’était pas une option vu la température. J’ai donc roulé, roulé, roulé… et la neige a commencé à se mettre de la partie. Avec la noirceur et mes pneus d’été, ça faisait un mélange pas super.

Surtout quand on passe à côté d’une scène comme celle-ci :
J’étais à deux doigts de dormir dans l’auto quand j’ai trouvé un hôtel cher, mais que j’ai en grande partie payé avec une de mes nuits gratuites hotels.com.

J’avais prévu deux jours dans ce coin de pays. Je me suis sauvée en douce après une journée pour me diriger vers Kelowna, en Colombie-Britannique. Et j’ai bien fait. Oh que j’ai bien fait. Le lendemain, dans les nouvelles, tout ce dont on parlait, c’était des 40 cm de neige que Calgary venait de recevoir!
 
C’était donc ma troisième fois dans les rocheuses canadiennes et ma deuxième fois avec des températures de merde. Alors au moins je sais que la vue était belle… derrière tout le brouillard et toute cette neige!

dimanche 14 octobre 2018

Malchance, quand tu nous tiens...


L’Oregon, c’est ben beau, mais… ça me porte malheur depuis quelques jours. Voici donc un moment un peu moins glorieux de mon périple…

Promis, je reviens sur les merveilles de l’Amérique tout de suite après!

Donc tout ça a commencé il y a deux jours quand… j’ai eu une contravention pour excès de vitesse (désolée, papa, je n’ai vraiment pas fait exprès!!!). Je m’en veux beaucoup parce que depuis le début du voyage, je m’efforce de suivre toutes les limites à la lettre. Et là, évidemment, dans un chemin où on ne peut mettre le régulateur de vitesse, là où on peut finalement dépasser les retardataires et dans une courbe, je me suis fait prendre. Le cinq minutes du voyage où je n’ai pas fait attention à ma vitesse. Grrrr. Mais bon, la trop gentille policière – pour vrai, elle m’a même conseillé un camping et m’a répété 1000x que c’était pour ma sécurité, mais n’a pas réduit l’amende… - m’a expliqué que je pouvais appeler la cour et faire les démarches pour faire diminuer de moitié le montant à payer en prouvant que je suis une bonne conductrice à la maison. C’est au moins ça.

Mais je n’avais encore rien vu. Le lendemain, alors que je sortais de l’épicerie, un homme m'a fait remarquer que j’avais une crevaison. Aucune idée depuis quand je l’avais, puisque je n’ai vraiment rien senti en conduisant. C’est justement ça le problème, j’ai conduit avec ladite crevaison. Alors ils ont pu réparer le trou, mais le pneu est abîmé et risque de se briser – lire éclater – « dans les prochains jours, prochaines semaines », dixit le gars qui l’a réparé. Joie.
Ma quête d’un nouveau pneu était donc commencée. Moi qui pensais que ce serait facile… J’aurais dû me rappeler qu’au Québec, ç’avait pris deux semaines avant de pouvoir les avoir, juste avant de partir. C’est que comme c’est ma voiture d’hiver, je n’avais pas de pneus d’été et c’est mieux pour mon voyage, vu que je suis au chaud. Bref, chercher mon pneu dans une petite ville de la côte ouest de l’Oregon, c’est pas mal comme chercher une aiguille dans une botte de foin. J’ai fait plusieurs garages et comme on était vendredi, ils ne pouvaient en avoir avant la semaine suivante. L’un d’eux a même téléphoné dans toutes les autres succursales qui se trouvaient sur mon chemin et personne n’en avait. Après deux jours de recherches, j’ai finalement trouvé une chaîne qui devrait – je dis bien devrait – être capable de m’en avoir un et que ce serait sur mon chemin, puisque c’est plus au sud. Le gars doit me rappeler. Mais…

Parlons téléphone, justement.

Hier soir, j’ai réalisé que j’avais oublié d’aller voir le « Cape Perpetua », qui était dans tous mes livres. Ce n’était qu’à 30 minutes d’où je suis arrêtée dormir, alors je suis retournée sur mes pas pour aller le voir. Les indications dans le livre n’étaient pas claires, alors j’ai dû me fier à une petite recherche Google. Lorsque je suis arrivée à la trail que je devais prendre, mon cellulaire m’a glissé des mains et est allé atterrir la face… directement sur un caillou. Juste à la mini bordure d’à peine un millimètre où la vitre de fibre de verre ne couvre pas celle d’en dessous.
Insérer ici une série de mots pas très jolis.

L’écran ne fonctionne plus. Le cell oui, mais sans écran, la seule chose que je puisse faire, ce sont des appels par le Bluetooth de la voiture.

Mais mon cell, c’est un de mes appareils photo. C’est ce qui me permet de réserver des hôtels, de trouver des informations rapidement et surtout, SURTOUT mon GPS. Celui de l’auto n’est pas très fiable. J’ai vraiment besoin de Google Maps. De toute façon, on s'entend qu'aujourd'hui, nos téléphones sont le prolongement de nous-mêmes, malheureusement. Mais bon, si je me fie à ce qu’on a à la maison, je me suis dit que je devrais trouver un réparateur de cellulaires rapidement. On s’entend qu’à Montréal, il est impossible de faire un coin de rue sans en trouver. Or, je ne suis pas à Montréal. J’étais même dans une zone sans service. J’ai donc roulé jusqu’à la ville où j’avais dormi et une fois là, je suis arrêtée dans le premier magasin de cells que j’ai trouvé. Évidemment, ils ne les réparent pas. Elle m’a envoyé au seul autre de la ville, qui lui, m’a dit que j’aurais plus de chances à Eugene, la grosse ville à une heure et quart de là. Il m’en a trouvé un et m’a donné l’adresse. Mais une fois à Eugene, je n’arrivais pas à trouver la maudite rue. C’est donc en me stationnant au McDo que j’ai envoyé le Wi-Fi sur mon iPad qui lui, m’a menée à la boutique. Le gars ne tenait pas de vitre de Google Pixel 2. Ça m’apprendra à bouder Apple… Il m’a suggéré d’aller au Best Buy et d’acheter un téléphone déverrouillé. C’est ce que j’ai fait. J’ai pris le plus cheap, mais il était quand même 150 CAD. C'est un ASUS. Je ne savais même pas qu'ils faisaient des téléphones! La seule bonne nouvelle – et ça vaudra aussi pour les pneus –, c’est qu’il n’y a pas de taxes de vente dans cet État. Les chanceux. J’ai ensuite fait trois ou quatre autres boutiques en vain, puisque personne n’a ça en stock. Et comme on est samedi… impossible d’avoir quoique ce soit avant mardi. (Le problème avec ça, c'est que ça me retarde grandement dans mes déplacements) Le dernier m’a redonné espoir, en me donnant le nom et l’adresse d’un concurrent, ouvert le dimanche, qui a de fortes chances d’avoir ça en stock. J’aurai ma réponse demain à 11h. Parce que c’est clair que je serai là dès l’ouverture.

Me reste maintenant qu’à rappeler le gars des pneus pour voir ce qu’il en est et surtout, croiser les doigts pour que mon pneu survive jusque-là!

Mais sinon, inquiétez-vous pas, tout (le reste) va bien!

Ah et voici la photo de ce que j’allais voir quand j’ai échappé mon cell comme une championne. Au moins, c’était beau…