jeudi 20 mai 2021

P'tites vites du Maroc

Le Maroc est tellement différent de ce que l’on connaît comme Occidentaux qu'il nécessite un deuxième blogue avec des « p’tites vites » pour en parler. Voici donc la deuxième partie de ce voyage effectué avec ma sœur illégitime en 2019!

La première partie des p'tites vites est ici.

Donc tout d’abord, voici des exemples parfaits de ma crainte sur le « load » de certains véhicules sur l’autoroute…

  

Je dois admettre que deux ans plus tard, je ne me rappelle pas à 100% la raison pour laquelle j’ai pris cette photo, mais je suis prête à parier que c’est parce que je ne m'attendais pas à voir autant de moutons dans une montagne!

Je n’ai pas vu el film Laurence d’Arabie, mais je l’ai ajouté à ma liste de choses à voir après avoir vu où tout ça s’est filmé.

  

Dans un village où on ne sait pas si ce sont toutes des mises en scène ou si des gens vivent vraiment de la sorte, un artisan nous a montré ses œuvres, alors qu’il peignait des toiles avec du jus de citron ou autre truc de « magie ». Le résultat était très beau, mais je n’en ai pas acheté.

 
Dans les marchés, on voit des couleurs magnifiques, mais en posant des questions, j’ai compris que certaines étaient pour de la teinture, d’autres pour du maquillage ou encore, tout simplement des épices. C’est beau de voir leur débrouillardise, mais en même temps, c’est confrontant de réaliser à quel point ils sont débrouillards alors qu’en Occident, tout est si facile…
 

J’avais entendu parler de festivals du rire qui étaient l’équivalent de nos Juste pour rire, mais de le voir, c’était quand même frappant. Évidemment avant la vague #metoo sur notre festival…

On a croisé le Café Montréal, mais encore aujourd’hui, je me demande pourquoi il s’appelait ainsi…

On se doit d’être honnêtes, ma sœur et moi n’avions pas vraiment pensé à tous les obstacles du Ramadan lors de notre voyage. On ne pouvait acheter de l’alcool nulle part, sauf dans les hôtels ou quelques restos. On s’est donc retrouvées dans un resto d’hôtel chic avec une vieille danseuse avec un chandelier sur la tête et un autre resto, où la serveuse est encore aujourd’hui notre amie sur Facebook.

Et lors d'une de nos premières soirées, on s'est retrouvées dans un bar d'hôtel avec des drinks vraiment hors de prix!

  

Avec le recul et la pandémie de Covid-19, ce genre de photo revêt une signification encore plus spéciale ;

Je vais vous épargner des détails entourant le propriétaire de notre hôtel (riad) – il trouvait ma sœur tellement extraordinaire qu'il voulait lui payer un billet d'avion pour qu'elle y retourne – mais voici ce à quoi nous avions droit tous les matins.

Et les claviers d’ordinateur étaient quand même légèrement différents des nôtres!

J’ai adoré ces peintures sur différentes professions, mais comme je cumule les emplois et professions, je ne pouvais pas en acheter une seule!


Aucun commentaire:

Publier un commentaire