À l’été
2022, je vous ai expliqué pourquoi mon petit bébé Charlot a raté mon
voyage en France, et même si ça fait presque deux ans, j'ai encore pas mal de choses à raconter sur
ce périple!
Voici donc des « p’tites vites » de la France!
C’est dans le village de Saint-Cirq-Lapopie que j’ai vu cette magnifique affiche, confirmant qu’il ne se passait pas grand-chose là!
Il y a deux importants « running gags » qui sont nés dans le mobilaum (ça commence à faire longtemps, alors je vous ai mis le lien pour la référence!) et qui nous ont suivis tout au long du voyage. D’abord, notre hôte se nommait Didier et à un moment, quand il a voulu nous aider avec notre plancha (deuxième running gag, qui en gros, se résume à mon amie et moi qui refusons de dire plancha parce que c’est laid et donc qu’on a renommée planche B) a tout bonnement enlevé son chandail sous les yeux ébahis de mon amie. Malheureusement, je n’ai pas assisté à cette scène, mais mon père confirme qu’elle a été zéro subtile quant à sa surprise! (La subtilité ne fait pas partie de nos gènes, elle et moi…). Donc, depuis ce temps, toute personne « en bedaine » se nomme Didier. Pas le choix!
Chaque fois que je vais en France, je perds patience – et foi en l’humanité – en étant témoin de leurs anglicismes inutiles. Et partout.
C’est bien beau tout ça, mais est-ce que quelqu’un peut leur dire qu’au Québec, des gens vandalisent les pancartes d’arrêt pour les franciser?
Chaque bateau venait avec une plante. La nôtre, vu que c'était une fleur, on l'a appelée Guy. Pour Guy Lafleur. Quand on a croisé un bateau qui ne prenait pas soin de la sienne, mon amie leur a expliqué qu’ils devaient l’appeler… Jacques.
Jacques Plante.
Ils n'ont rien compris, mais nous on a ri en maudit!
Voici donc Guy :
Mon gros fun quand je visite un autre pays, c’est d’essayer les saveurs de chips locales. En France, je suis tombée en amour avec les chips bolognaise. Sérieux, amenez ça au Québec, PLEASE!
À Cahors, on cherchait un restaurant ou une épicerie ouverte un dimanche. Ç’a été un échec lamentable, mais on a quand même trouvé ce petit couple qui considérait que le lavage de leur voiture était le moment le plus romantique de leur histoire…
On parle de plus en plus de l’omniprésence du plastique, mais… est-ce qu’on peut discuter de ces frites où chaque foutue frite a son emballage?!
Et ces fraises, qui n’avaient pas besoin de ce suremballage…
On a vu plusieurs noms de vin disons douteux, mais mention honorable à celui-ci, le « vin noir du diable »!
À l’épicerie, j’ai vu des conserves d’olives (j’adore les olives vertes!) fourrées au jambon. Je me suis dit « wow, deux choses que j’aime, ça doit être génial! » Mais non. Vraiment pas. Je vous confirme que c’est vraiment très, très dégueulasse.
Beurk.
Toujours à Cahors, dont je vous ai parlé ici, on a vu cette maison. Non, mais qui a dessiné les trous pour les fenêtres?! C’est inacceptable!
On a exploré les petits villages à pied et dans celui-ci, mon amie voulait voir ce qui se cachait dans ce tunnel.
Comme je tenais à nos vies, j’ai refusé. Pour vous donner une idée, ça, c’était de l’autre côté.
À part nous mener dans un film d’horreur, je ne vois absolument pas où on aurait pu aller en entrant dans ledit tunnel!
Cette pancarte « Attention au chien » a l’air de sortir de Walt Disney. Pas sûre que les gens vont le craindre…
J’ai vraiment ri quand mon amie a lu « Chéniste Bernard Atger » au lieu de voir que le nom complétait le « É » du mot « ébéniste »…
En cherchant une épicerie à Cahors un dimanche où tout était fermé, on s’est retrouvées dans un genre de bar douteux où le but était de miser sur à peu près tout.
On était les seules femmes et les seules touristes de la place. Disons qu'on n'est pas restées longtemps!