samedi 9 avril 2022

P'tites vites de Houston, la suite!

Je sais, je sais, je ne suis pas la chronologie pour mes blogues. Mais dites-vous que je ne vous ai encore pas tout dit sur mes voyages au Maroc et au Pérou en 2019, alors…

Je vais commencer par conclure mon récent passage à Houston. Pour vous rafraîchir la mémoire, j’y suis allée en décembre avec Charlot parce qu’il voulait assister à son premier match des Colts (quant à moi, c’était mon 10e match de mon équipe dans une 10e ville!).

Alors même si j’ai déjà fait un article sur les « p’tites vites de Houston », j’en avais encore à dire, alors voici la partie no 2!

À mon arrivée, j’ai trouvé vraiment cool l’affiche dans le taxi faisant la promotion de trajets à 6 $, nommés « Six in the city » partout lorsqu’on est au centre-ville. Je comptais abuser de ce « deal » et je l’aurai finalement pris un gros total de… zéro fois.

Vous le savez peut-être déjà, mais comme je déteste le café, je carbure – malheureusement – au Red Bull. Quelle ne fut pas ma surprise, que dis-je, ma panique, de réaliser qu’il y avait une pénurie de ma potion magique dans la ville! Je dois préciser que je ne bois que du sans sucre. Pour comprendre mon raisonnement pas si logique, je vous invite à lire mon deuxième roman, « Moi j’mange »! Comme disent les anglos, bref…

 

Je n’ai pas trop compris le lien avec la phrase « Quelle heure est-il? » en plusieurs langues dans les pierres sur le plancher, mais comme c’était à des arrêts d’autobus/tramways, c’est sûrement parce qu’ils ne sont pas à l’heure!

Je vous ai raconté l’histoire du Boeing qui transportait des navettes spatiales, mais je tiens quand même à dire que je me suis retenue pour ne pas acheter ce chandail au centre spatial. Après tout, je suis de la génération pour laquelle Pluton était une planète! (Sinon, quoi faire avec la phrase mnémotechnique pour se rappeler de l’ordre des planètes « Mon vieux, tu m’as jeté sur une nouvelle planète »?)

J’ai trouvé ça très cool que les lumières sur les coins de rue soient en plus illuminées de la couleur des lumières en vigueur. Avec ça, si on passe sur une rouge, on n’a aucune excuse!

De quoi est-ce que je me suis le plus ennuyée des États-Unis pendant les deux années de pandémie? Mes barres de crème glacée Snickers. Pour vrai, je l’ai déjà dit, mais c’est une excellente chose pour ma santé que ça n’existe pas au Canada!

Au cours des dernières années, j’ai découvert mon grand intérêt pour le Tartare de bœuf. S’il y a ce mets sur un menu d’un restaurant où je vais, il y a de très fortes chances que mon choix s’arrête sur ça. Tout près de mon hôtel, il y avait un restaurant steak house très bien coté, le Vic and Anthony’s. J’ai longuement hésité entre un bon steak – j’ai été élevée au filet mignon puisque mon père était propriétaire d’un steak house! – ou un Tartare. J’ai choisi cette dernière option et même si le restaurant était super, que j’étais aux premières loges pour le concert piano et voix d’un artiste, je dois admettre que ce n’est vraiment pas le meilleur Tartare que j’ai mangé dans ma vie. Mais bon, à moins que ma mémoire me fasse défaut, c’était ma première expérience avec un œuf de caille. Je n’en tirerai pas des leçons de vie, mettons.


Ce resto étant quand même haut de gamme, il offrait des digestifs à… 1800 $ américains. Je répète, 1800 USD. Eh boy. À ce prix, j’espère que les gens ne se font pas juger s’ils lèchent le verre pour n’y laisser aucune goutte!

 

Un midi, je cherchais un resto où me prendre à dîner sur le pouce, pour retourner à l’hôtel et travailler sur mes divers projets (ce n’était pas des vacances), alors j’étais super contente de constater qu’il y avait un Pot Belly tout près de mon hôtel. Je connaissais cette chaîne du temps où j’étais journaliste sportive et que je passais beaucoup, beaucoup de temps aux États-Unis. Leurs soupes sont extraordinaires et leurs sandwiches le sont tout autant. Sauf que pour m’y rendre, j’ai dû passer par un centre d’achats complètement désert. Plein de boutiques et de restaurants fermés. C’était tellement triste – et sans aucun doute des conséquences de la pandémie. Mais bon, la bonne nouvelle, c’est que je me suis régalée une fois à ma chambre d’hôtel. Si vous êtes de passage chez nos voisins du Sud, que vous cherchez un « fast-food » différent et délicieux, je vous le recommande! 

 



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